– À Julien Hoquet –
Vrombissements aigus, cri du métal,
Scie circulaire tranchant à vif
Le gris revêtement mural ;
Plaques arrachées, bruit de masse,
Tremblement des murs, bois qui craque ;
Et dans ce terrible vacarme,
À travers la fine poussière
Couvrant peu à peu les fenêtres,
À l’ombre des échafaudages,
Il neige du polystyrène.
Dans ce décor de cinéma,
Des panneaux blancs gisent, plus bas,
Telle une banquise brisée,
Après la débâcle échouée.